Aide aux survivants | Maintien à domicile

Visiteurs sociaux du Casip-Cojasor

Depuis septembre 2020, le Casip-Cojasor a mis en place un service de visiteurs sociaux qui se déplacent au domicile des survivants de la Shoah vivant en région parisienne. Cet accompagnement peut concerner tous les aspects de la vie quotidienne, et s'adapte aux besoins et aux demandes de la personne visitée. 

Depuis septembre 2020

Depuis septembre 2020, le Casip-Cojasor a mis en place un service de visiteurs sociaux qui se déplacent au domicile des survivants de la Shoah vivant en région parisienne qui ne peuvent pas venir à la maison Bluma Fiszer (Paris 12ᵉ) pour participer à des activités culturelles sur place. 

Chaque visite se déroule en fonction de l'attente de la personne survivante, son caractère et ses souhaits. Le temps de discussion est toujours important, répondant à un besoin constant d'accompagnement psychologique, mais les sollicitations et activités peuvent être multiples

Visiteurs sociaux du Casip-Cojasor

Une survivante de la Shoah est accompagnée dans une visite au musée. 

Les personnes visitées peuvent souhaiter une présence qui leur permette de vivre leur identité juive (partage des rituels des fêtes de Hanoukka ou Pourim, aide à la rencontre avec un rabbin...) ou les aide à entretenir la mémoire de leur histoire (écrire son témoignage ou le faire en vidéo...). Grâce au visiteur, ils peuvent garder le contact avec leur famille, par des appels vidéos notamment, et sont aidés dans les menus tâches de la vie quotidienne (achats, réparations...). L'accompagnement peut également concerner leur santé, avec l'aide à la prise de rendez-vous médicaux, mais aussi leurs loisirs, que ce soit pour des promenades en extérieur ou chez eux, pour des activités ludiques, jeux de cartes ou de société. 

Cette mission de lien social se renforce à chaque visite et des liens forts peuvent se tisser entre la personne survivante et le visiteur social salarié de la Fondation Casip-Cojasor. 

Depuis le début, ces visites concernent chaque année une cinquantaine de survivants, à raison de deux par mois pour chacun. 

La Fondation pour la Mémoire de la Shoah soutient ce programme du Casip-Cojasor depuis son lancement en septembre 2020.